En même temps, doit-on pleurer le fait que les consommateurs, par le biais des drives, consomment plus intelligemment ? C’est à dire en étant moins tenter d’acheter ce qui ne leur est pas nécessaire ?
Car oui, les courses alimentaires sont bien une corvée, surtout dans une famille nombreuse.
Je ne pleurerai pas pour les enseignes de grande distribution qui risquent de ne pas être gagnantes.
Alors pourquoi pas un avenir pour les drives, à développer, tout en voyant l’émergence (ou plutôt la ré-émergence) des commerces de proximité pour les courses d’appoint, et des enseignes spécialisées pour les courses particulières (électroménager, meubles, …)
